Après le bâtiment, travaux publics et dérivés, c’est le «Mois du secteur» de l’électricité et électronique qui prend les devants. Il bat actuellement son plein et continuera ainsi tout au long de ce mois d’avril. La manifestation nouvellement mise sur pied a été lancée pour promouvoir par rotation chaque mois un des secteurs phares de la formation professionnelle, dans l’objectif de faire valoir le potentiel matériel, humain et professionnel dont dispose l’Agence tunisienne de la formation professionnelle (Atfp).
Cette initiative se confond en définitive avec une campagne de sensibilisation et d’orientation vers un créneau censé être beaucoup plus prometteur pour les jeunes que les autres, en termes d’employabilité, cela s’entend. L’électro-électronique, déjà classée prioritaire, se taille actuellement la part du lion en termes de postes de formation. Selon les dernières statistiques de l’Atfp, sur l’ensemble de dix secteurs d’activités offrant une palette de plus de 350 spécialités au total, ce secteur en vedette compte, en effet à lui seul, quelque 20 mille stagiaires, tous diplômes confondus. Soit environ le tiers du total de l’effectif d’apprenants en formation à l’échelle nationale (63.404). Célébré dans les locaux de dix centres répartis sur tout le territoire tunisien, le Mois du secteur est décliné sous forme d’un grand salon d’exposition des réalisations et expériences acquises en la matière. De l’inscription jusqu’aux débouchés professionnels en passant par le mode de formation adopté, le jeune postulant sera instruit pour faire son bon choix. Les centres d’accueil sont ceux du Grand-Tunis, de Nabeul, Béja, Sousse, Sfax, Kasserine, Tozeur et Tataouine.
Décideurs politiques, formateurs, agence de tutelle et ses partenaires économiques et sociaux tels que l’Utica, l’Aneti et l’Ugtt auront à mieux communiquer cette branche d’activité aux demandeurs de formation, mais aussi à un large public aux motivations professionnelles hétérogènes. Ils sont au rendez-vous pour faire valoir l’image du secteur et améliorer la perception à son égard. Au rythme de ce mois, autant d’activités et de manifestations d’animation sont au menu. Des journées portes ouvertes, visites sur le terrain, contacts directs stagiaires-chefs d’entreprise et témoignages de diplômés sont aussi à l’ordre du jour.
Cette initiative se confond en définitive avec une campagne de sensibilisation et d’orientation vers un créneau censé être beaucoup plus prometteur pour les jeunes que les autres, en termes d’employabilité, cela s’entend. L’électro-électronique, déjà classée prioritaire, se taille actuellement la part du lion en termes de postes de formation. Selon les dernières statistiques de l’Atfp, sur l’ensemble de dix secteurs d’activités offrant une palette de plus de 350 spécialités au total, ce secteur en vedette compte, en effet à lui seul, quelque 20 mille stagiaires, tous diplômes confondus. Soit environ le tiers du total de l’effectif d’apprenants en formation à l’échelle nationale (63.404). Célébré dans les locaux de dix centres répartis sur tout le territoire tunisien, le Mois du secteur est décliné sous forme d’un grand salon d’exposition des réalisations et expériences acquises en la matière. De l’inscription jusqu’aux débouchés professionnels en passant par le mode de formation adopté, le jeune postulant sera instruit pour faire son bon choix. Les centres d’accueil sont ceux du Grand-Tunis, de Nabeul, Béja, Sousse, Sfax, Kasserine, Tozeur et Tataouine.
Décideurs politiques, formateurs, agence de tutelle et ses partenaires économiques et sociaux tels que l’Utica, l’Aneti et l’Ugtt auront à mieux communiquer cette branche d’activité aux demandeurs de formation, mais aussi à un large public aux motivations professionnelles hétérogènes. Ils sont au rendez-vous pour faire valoir l’image du secteur et améliorer la perception à son égard. Au rythme de ce mois, autant d’activités et de manifestations d’animation sont au menu. Des journées portes ouvertes, visites sur le terrain, contacts directs stagiaires-chefs d’entreprise et témoignages de diplômés sont aussi à l’ordre du jour.
LA PRESSE du 16-04-2013